Mojurzikong
Compagnie Sous la tourThéâtre d'ombres et musique live
jeu. 5 Fév. à 10:00
Un space opéra bricolé en direct
Embarquez dans une expédition intergalactique joyeusement bricolée mêlant théâtre d’ombres, cinéma d’animation et concert live. Contraint de s’arrêter dans une galaxie inconnue, un vaisseau interstellaire arrive sur la planète Paterre. L’équipage dirigé par la capitaine Vasarelley croise des dinosaures, un cow-boy ou encore une grand-mère minière et découvre l’existence d’un précieux minerai dont l’usage détourné peut mettre en péril le Mojurzikong, un dinosaure à l’origine de la création de Paterre.
Sur scène, deux artistes fabriquent en direct les images projetées et la musique de manière stupéfiante. Ombres découpées, objets détournés, sons électro-pop et bruitages surprenants donnent vie à cette aventure intersidérale. Entre science- fiction, théâtre d’ombres et concert, Mojurzikong nous embarque dans un univers rétro-futuriste aussi drôle que magique.
La compagnie
Émeric Guémas est graphiste (ENSAD Paris, École Boulle). Installé à Rennes en 2000, il collabore trois ans au sein de l’atelier Lieuxcommuns (Jocelyn Cottencin) avant de s’associer avec le photographe Yann Peucat en fondant l’atelier Puzzle (Rennes) en 2005. S’y succèdent petits et grands projets associatifs, institutionnels et culturels.
Membre, depuis 2011, de l’atelier de gravure et de sérigraphie rennais L’Imprimerie, il y pratique la sérigraphie, y développe tout particulièrement son projet personnel d’illustration Sous la tour et participe aux expositions montées par le collectif. Il s’attèle depuis quelques années à animer ce travail comme par exemple dans le dessin et l’animation des clips La Neige de l’année dernière et Sous les radars du groupe Fontaine Wallace. Aujourd’hui, économie de moyens, il sort son papier et ses ciseaux pour animer des ombres avec Jérôme.
Jérome Lorichon est joueur de flipper mais aussi de générateurs de fréquences : il est en effet multi-instrumentiste, puisqu’il commence par la trompette au conservatoire, puis en autodidacte apprend la batterie, les percussions, le piano électrique (Wurlitzer), les synthétiseurs analogiques en tout genre, si possibles vieux et mythiques comme le Buchla, et tout ce qu’il déniche sur son chemin faisant du son ou du bruit. Il apprend la musique improvisée avec Erik Minkkinen et lancent Capricorne band et Antilles en trio avec Lionel Fernandez. Il passe ensuite à la musique spontanée, avec Quentin Rollet et Ghedalia Tazartès. En 2011, il rencontre Zombie Zombie pour l’album Rituel d’un nouveau monde. Il compose pour la mode, les arts plastiques, le cirque, ainsi que pour des documentaires et le cinéma.