Il aime les petites choses, joue avec les bestioles, regarde le monde avec curiosité et émotion…
Tout en traînant sa petite casserole.
Il s’assoie sous les arbres pendant les orages, écoute la mer au fond des marmites, s’amuse de l’odeur des fleurs…
En trébuchant sur sa petite casserole.
Il se confronte au monde et à ses difficultés, s’émeut de ce qui l’entoure, pose un œil poétique, bizarre et drôle sur les objets et les situations qu’il regarde en décalé…
En apprivoisant peu à peu sa petite casserole.
Les marionnettes épurées, qui rappellent le trait simple, profond et juste des illustrations d’Isabelle Carrier, sont pleines d’expressivité et de tendresse. Le spectacle offre différents niveaux de lecture selon l’âge et le vécu du spectateur. Chacun, grand ou petit, peut y retrouver son compte. L’histoire d’Anatole nous parle avec poésie de différences, mais surtout de ressemblances.
Finalement, chacun de nous ne traîne-t-il pas une petite casserole ?
« UN PUR PETIT MOMENT DE POÉSIE ET DE TENDRESSE, PÉTRI D’HUMOUR. » Toutelaculture.com, Audrey Chaix, juillet 2015
Dans l’équipe du Sablier, c’est le spectacle que Solène, chargée de billetterie, veut voir : « Je ne veux absolument pas rater La Petite casserole d’Anatole, parce que c’est tellement mignon ! La compagnie a fait un super boulot de construction de marionnettes, la manipulation a l’air très bien faite et l’univers est très beau. »